Jena est une actrice porno amatrice de 24 ans. Mesurant 1,60m, elle est une fille type skinny par contre, elle a quand même de gros mamelons bien fermes. Elle va donc vous montrer ici ses périples et les dessus et dessous de son métier.

Comment tu es tombé dans le porno ?

« Au tout départ, j’ai voulu rentrer dans le mannequinat. Comme je suis assez mince et à la fois jolie si j’ose ce mot, je pensais avoir ma chance. Par contre, ce secteur est trop concurrentiel, du coup j’ai lâché prise. Un ami à moi m’a par la suite initié au monde du porno amateur. J’ai passé un casting et directement, je me suis plu dans ce métier. Dès la première scène que j’ai tournée donc, j’ai remarqué que je suis fait pour ce job. Et le réalisateur d’ailleurs a été étonné de mes performances ».

Est-ce que tu prends plaisir quand tu tournes un film ?

« Si tu te fais pénétrer la chatte par une grosse bite, il est quasiment impossible de simuler. Donc, quand je tourne des films X, je prends vraiment du plaisir. Outre le sexe avec mes partenaires, les scénarios m’excitent également. Parmi les scènes que j’aime le plus, il y a le fait de rencontrer un bel inconnu dans les bois et par la suite, on baise comme des fous. J’aime aussi jouer le rôle d’une petite secrétaire qui se fait défoncer par son patron dans son bureau ».

Quelles sont tes spécialités ?

« En tant que actrice porno, je dirais que je suis une fille plutôt polyvalente. En effet, je peux par exemple jouer des scènes de sexe ultra soft et romantique. Mais je peux également faire du gang bang avec plusieurs mecs ou même du BDSM. En mode solo, je peux me frotter et me doigter la chatte devant une caméra avec ou sans sextoys. A part cela, comme je suis métisse, je joue souvent des films types interraciaux. Parfois même on me catégorise souvent parmi les femmes types ebony ».

Tu acceptes n’importe quel rôle qu’on te donne ?

« Dans le porno, une actrice a la liberté de choisir si elle veut tourner telle ou telle scène. Et pour mon cas, il m’est très rare de décliner une proposition de film. Donc, s’il y a double pénétration ou du sadomasochisme ou même une scène lesbienne, ça ne me dérangerait pas. Par contre, si dans le futur on me demandait de tourner des scènes gores comme de la scatophilie, je dirais tout de suite non. Par principe, je ne fais pas également des scènes qui dénigrent la culture des autres comme porter un niqab pendant une scène de sexe».

Comment tu fais quand tu as une vraie relation sexuelle ?

« Tout comme les filles qui travaillent dans le porno, j’ai bien une vie intime. Néanmoins, je ne peux sortir qu’avec des gens qui travaillent dans ce milieu car un mec normal aura du mal à accepter mon métier. J’ai déjà eu un copain qui n’était pas dans le porno, mais c’était très compliquer entre nous. Effectivement, il faut tout son possible pour que je change de job et à la fin, on a fini par se casser. Concernant ma vie privée côté sexuelle, vous allez être étonné, mais quand je couche avec mon copain, je fais comme toutes les autres filles. Dans ma vie intime, je ne pratique pas donc le sexe comme dans le porno pas trop de sexe anal, de cum face ou de BDSM. Il m’arrive même de ne faire que du missionnaire et rien d’autre ».     

Que penses tu du fait que les actrices pornos sont maltraitées ?

On parle souvent de ça. En fait, il y a une grande relativité. Dans le porno, tu as le choix et si tu penses que tu ne peux pas, tu ne le fait pas tout simplement. Je pense donc que dans l’industrie du porno, les femmes soient maltraitées. Certes, certaines scènes peuvent être choquantes comme le fait de voir l’actrice se faire arroser par du sperme par pleins de mecs, mais c’est comme ça ! Le porno, c’est un art visuel qui répond à un besoin précis. De ce fait, on tourne des scènes qui peuvent potentiellement plaire aux hommes.

Tu tournes toujours des scènes sans protection ?

« Avaler du sperme et baiser sans capote pourrait certainement engendrer une maladie. Mais dans le porno, c’est déjà gérer, chaque acteur a son dossier médical et le risque est donc assez minime. Dans le porno, si tu fais un film avec un mec qui porte une capote, il ne va pas du tout connaitre un succès. Je sais que c’est irresponsable de notre part de motiver les gens à avoir du sexe sans se protéger, mais c’est tout simplement une réponse à une demande ».

Qu’est ce qui est le plus pénible dans le porno ?

« Comme tout métier, il y a du dessus et dessous dans le porno. Pour mon cas en particulier, c’est faire un long tournage qui me dérange un peu. De plus, quand ton partenaire de baise ne fait pas correctement les choses, on peut refaire une scène une dizaine de fois. Parmi les moments les plus pénibles que j’ai vécus, il y a ce tournage qui a duré toute une journée. En fait, mon partenaire était un peu éjaculateur précoce et à chaque fois qu’il vient, la scène et couper, on attend dix minutes et puis on reprend. A part cela, faire une double pénétration ne m’enchante pas trop. Après avoir tourné une scène qui nécessite une double pénétration, j’ai toujours du mal à marcher et quand je vais au toilette, ce n’est pas trop top non plus».

Est-ce que toutes les actrices pornos sont des escorts girls ?

« Ça reste un choix pour tout un chacun. Il y a des filles qui le font et d’autres qui ne le font pas. Pour moi particulièrement, j’en fais, mais j’ai quelques conditions. Je suis par exemple très sélective sur la personne. Si c’est par exemple un papy de plus de 50 ans, je déclinerais certainement l’offre. Mais s’il est beau et craquant, pourquoi pas. »

 Est-ce qu’être escort c’est se prostituer ?    

« Beaucoup de gens disent cela. Mais pour moi, l’escorting c’est comme un show porno privé. A la demande de mes clients, je peux me mettre dans la peau de n’importe quelle femme. Quand on se donne rendez vous ensuite, je joue mon rôle et tout le monde est content. »